ISTIC Clap de fin des soutenances
L’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, a organisé du 17 au au 26 juin les soutenances de fin de formation de ses stagiaires Assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication.
Débuté le 17 juin 2021, les stagiaires Assistants en communication, journalisme et techniques et technologies des médias ont présenté devant des jurys leurs travaux de fin de 21 mois de formation.
Comme MANDZABA W.T. Claver, ils étaient au total 73 dont 40 communicants, 32 journalistes et 01 technicien à s’adonner à cet exercice.
Pour la plupart des impétrants, le choix des sujets de productions et d’études de cas sont inspirés du constat lors des stages d’immersion dans les médias, institutions publiques et privées du Burkina Faso qui présentent des insuffisances.
Le thème :” La communication de crise du gouvernement dans la gestion de la Covid -19 au Burkina Faso”, de MANDZABA a mis fin aux soutenances ce 26 juin 2021.
Les différents jurys ont apprécié positivement tous les travaux et les ont jugés recevable pour la génération future sous réserve des recommandations en vue d’améliorer les documents. Les mentions bien à excellent ont sanctionné les travaux.
A noter que les soutenances constituent une activité pédagogique importante de l’ISTIC.
Direction de la Communication, du marketing et du partenariat/ ISTIC
En savoir +Dans la suite des soutenances de fin d’études, ce mercredi 23 juin 2021 à l’ISTIC
Les assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, option Communication se sont intéressés aux approches de communication des institutions publiques et privées sur les réseaux sociaux. Notamment leurs limites en terme d’information et sensibilisation pour une prise de conscience ou pour une adhésion de la part de la population, mais également sur les situation et l’interaction de leur public cible. Ils ont aussi fait des suggestions pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs.
Samiratou Moné s’est attelée à la « communication de crise au Ministère de l’éducation nationale, de l’alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MENAPLN) ». Un thème d’intérêt national et sensible qui touche tout un chacun. Elle a fait des suggestions visant à réformer les messages susceptibles de prévenir et de pouvoir contrôler les situations de crise au ministère, parmi lesquelles on peut retenir : Élaboration d’une stratégie de communication de crise, la formation des agents de la Direction de la Communication et de la Presse Ministérielle (DCPM) en communication de crise et assurer une veille communicationnelle.
« Analyse des actions de communication du ministère de la santé dans le cadre de la lutte contre l’hépatite B au Burkina Faso en 2020 ». C‘est le thème a défendu par OUEDRAOGO Fas-ne Wende. Un mal qui est devenue au fil des années, un problème de santé publique au Burkina Faso et est à la base de plusieurs décès par an. Dans les actions de communication du ministère de la santé pour l’éradication du mal, il manque une véritable stratégie de communication dans le cadre de la lutte contre cette maladie. Elle a par ailleurs recommandé au regard de cette situation, l’élaboration d’une stratégie de communication dans le cadre de la lutte contre cette maladie en l’adaptant au contexte du moment.
Olga Bénédicte Florence KYELEM a, quant à elle choisi de se pencher sur la « pratique de communication digitale par la commission de l’informatique et des libertés (CIL) : Cas de la page Facebook de juillet à décembre 2020 ». Pour l’impétrante, après un stage au sein de cette institution, la faible audience sur la page a été sa motivation pour le choix de son d’étude de cas. Son objectif est d’apporter sa contribution pour plus d’audience sur la page Facebook de la commission de l’informatique et des libertés. Au total ce sont cinq (05) étudiants qui ont présenté ce 23 juin 2021 leurs études de cas devant les jurys.
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Les soutenances des assistants se poursuivent à l’istic
La santé, l’éducation dans certaines zones du Burkina Faso en proie à l’insécurité, l’environnement ont été évoqués ce mercredi par les étudiants Assistants de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, option journalisme dans cette dernière ligne marquant la fin de la formation professionnelle.
Les attaques terroristes au Burkina Faso depuis 2015 a engendré plusieurs conséquences dans les zone en proie. Notamment le déplacement massif des populations Tout comme Salamatou DICKO qui s’est penché hier sur la stigmatisation de certaines communautés, ce mercredi 23 juin 2021, NASSOURI Flora Doriane, a quant à elle choisi de s’intéresser à l’éducation des enfants avec le thème : « La scolarisation des enfants déplacés internes dans la ville de Fada au Burkina Faso ». En croire l’impétrante, beaucoup d’enfants ont été contraint d’abandonner l’école faute de moyens. Les ayant été contraint de fuir leur village d’origine à cause des attaques terroristes.
Georges SAWADOGO a quant à lui opté de parler de la santé avec son grand reportage intitulé « Centre médico-chirurgical/ Morija de Kaya : Rétablir la dignité des personnes vivant avec un handicap ». Pour l’étudiant, son choix est motivé par le fait que la personne vivant avec un handicap à statut précaire. Elle est contrainte parfois à mendier pour survivre. Une situation provoquant parfois rejet et exclusion. Son objectif avec cette production est de faire connaitre ce Centre Médico-Chirurgical qui se fixe pour mission de soulager et redonner de l’autonomie aux en situation de handicap.
L’environnement a été la préoccupation de SORGHO Nicolas avec son thème « Sable de Manga : Un business pour les acteurs et un danger pour l’environnement » Cette ruée sur la sable de manga n’est pas sans conséquences pour l’environnement. Après un vingtaine d’année d’exploitation, le constat est amer. Des arbres déracinés ou menacés de tomber, des routes en état. Après avoir vidé les marigots, ce sont maintenant les champs de culture jouxtant les marigots qui sont pris pour cibles. Et les conséquences ne se limitent pas seulement à l’environnement, Des hommes ont également perdu la vie de suite d’éboulement. Autre conséquence et non le moindre, ce sont les conflits entre villages voisins, chacun revendiquant la propriété. Il invite les acteurs de l’environnement de mener des réflexions sur les conséquences de cette activité et de trouver des solutions le plus rapidement possible.
Au total ce sont neuf (09) étudiants qui ont présenté devant les membres des jurys leurs productions de fin d’études.
Direction de la Communication, du Marketing et de Partenariat/ISTIC
En savoir +COMMUNIQUE DE PRESSE
L’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication a entamé depuis le jeudi 17 Mars 2021, la phase terminale de la formation des stagiaires du niveau Assistants en Sciences de l’information et de la communication. Soixante-treize (73) stagiaires, toute filière confondue, présentent devant les jurys, le fruit des travaux de production de fin d’études pour les filières Journalisme et Techniques et Technologies des médias, et d’études de cas pour ceux de la filière Communication.
La formation à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication a une durée de vingt un (21) mois pour les stagiaires du niveau Assistant. Les pratiques pédagogiques combinent, les cours magistraux, les masters class, les stages d’immersion en milieu professionnel, les voyages pédagogiques et la réalisation de production de fin d’études à présenter devant des jurys constitués à cet effet. Cette dernière phase de la formation a pris son envol depuis le jeudi 17 Juin 2021 avec le démarrage de présentation des productions et d’étude de cas; ce qui est communément appelé « les soutenances ». Soixante-treize (73) stagiaires défendent leurs travaux de recherches devant les jurys à l’ISTIC.
Ces 73 stagiaires en fin de formation se répartissent comme suit :
-50 sont des stagiaires inscrits sur titre
-16 ont été admis par voie de concours directs
-06 ont été inscrits par voie de concours professionnel et (01) un agent inscrit par sa structure, la RTB.
La première vague de présentations des productions et études de cas s’est déroulée du 17 au 19 juin 2021. La seconde vague des soutenances débute ce mardi 22 pour s’achever le samedi 26 juin 2021.
Le diplôme d’Assistant en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (BAC+2) est délivré dans les trois filières de formation. La filière Communication qui forme les apprenants à la maitrise des techniques de communication et de relations publiques et prépare les apprenants à la gestion de la communication des ministères, des institutions, des entreprises et des structures publiques et privées.
La filière Technique et Technologies des Médias forme les apprenants à la maîtrise des techniques de la prise de vue, la prise de son, le montage audio, le montage vidéo, la technique d’éclairage, la PAO (Publication Assistée par Ordinateur) et la conception et gestion de site web.
Enfin, la filière Journalisme forme les apprenants à la maîtrise des techniques de traitement de l’information en radio, en télévision, en presse écrite et en presse en ligne.
Plus qu’un institut de formation, l’ISTIC est un véritable cadre de rencontres et d’échanges pour les jeunes africains désireux de se former et de faire carrière dans les métiers de l’information et de la communication. Sa tradition d’accueil et de formation d’étudiants étrangers remonte à ses origines. L’ISTIC a ainsi formé plusieurs générations de professionnels de l’information et de la communication du Bénin, de la République Démocratique du Congo, du Gabon, du Niger et du Tchad.
ISTIC, le creuset du journalisme et de la communication !
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03 BP 7135 Ouagadougou 03
Tel : 25 36 25 58 / 25 40 73 74
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Soutenances de fin de formation à l’ISTIC
Les assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, option Communication présentent leur étude de cas devant les jurys. Au nombre de 40, les stagiaires de la filière communication se sont penchés entre autres sur les approches de communication des institutions publiques et privées.
Pour cette journée du 22 juin 2021, Sadia Alimata COMPAORE, a, dans le cadre de ses travaux de fin de formation à l’ISTIC, présenté devant un jury constitué à cette circonstance, une étude de cas sur « les approches de communication du ministère des droits humains et de la promotion civique sur la prévention et la gestion des conflits communautaires au Burkina Faso en 2020 ». Elle s’est intéressée plus spécifiquement sur le cas de Kaya et de Ouagadougou car selon elle, ce sont des zones à forts conflits communautaires. Un travail que le jury a trouvé recevable et lui a décerné la note de 17/20.
COMBERE Tégwendé P.A Césarine, une autre stagiaire en communication, quant à elle, s’est appesanti sur « Les approches de communication du district sanitaire de Fada N’gourma et leur impact sur les consultations prénatale suite à la gratuité des soins des femmes enceintes de 2016 à 2020 ». À en croire l’impétrante, le contexte sécuritaire dans la région de l’Est a eu un impact négatif sur les consultations prénatales car le district n’a pas pu développer sa stratégie de communication en vue de mobiliser les femmes autour des activités sanitaires notamment les consultations prénatales. Pour elle, il faudrait changer la stratégie de communication au regard du contexte sécuritaire. Une présentation qui lui a valu la note de 16/20.
DCMP/ISTIC
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Les assistants en Sciences et Techniques de l’information et de la communication option journalisme présentent leur production devant les jurys
Débuté le 17 juin dernier, les soutenances se poursuivent ce mardi 22 juin 2021. Les assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la communication option journalisme présentent devant les jurys, le fruit des travaux de production de fin d’étude. Ils sont au total 32 en journalisme qui seront face aux jury pour l’option de leur parchemin.
Un sujet qu’on parle rarement, voire très rarement. Les violences conjugales faites aux hommes : les larmes silencieuses du « sexe fort ». C’est le thème défendu par BARRO Madjara Faridha. Cette enquête fournit des informations sur les types et les origines des violences faites aux hommes par les femmes au Burkina Faso. Les causes de ces violences, les conséquences sur l’homme, la femme et la famille, ainsi qu’une esquisse de solution du problème donnée par les populations elles-mêmes. Il ressort de cette enquête qu’il existe plusieurs formes de violences : verbales, physiques, économiques, sexuelles, rituelles, psychologiques et morales, homicides… Les causes relevées sont d’ordre sociales, économiques et morales : Ce sont notamment le fait des jalousies, la méchanceté, la malhonnêteté, la nature impulsive de la femme, la pauvreté, le manque de dialogue et d’éducation. A cela, il faut ajouter la recherche effrénée du plaisir et des biens matériels, l’alcoolisme et la consommation des drogues et stupéfiants, le désir de domination ou de leadership féminin. Une autre cause est le fait du non-respect des engagements de l’homme vis-à-vis de la femme, notamment le devoir de fidélité. Pour le président du jury, Jean Emmanuel OUEDRAOGO, il faut saluer de l’impétrante pour s’être osé sur un sujet aussi sensible et complexe au regard de ce qu’il cache. Un travail sanction par la note de 16/20.
Salamatou DICKO elle s’est appesantie sur les conséquences du terrorisme au Burkina Faso avec le thème « La stigmatisation de certaines communautés face à la montée du terrorisme au Burkina Faso ». Une situation visant la communauté peulh. Toute chose qui a amené le chef de l’Etat a lancé un appel face à la situation. La présidente du jury, Mafarma SANOGO, a félicité la stagiaire d’avoir porté un sujet aussi sensible et la diversité des acteurs qui ont intervenu. Elle s’en sort avec la note 18/20.
Outre Salamatou DICKO et BARRO Madjara Faridha, Urielle KABORE a quant à elle, choisi de se pencher sur la danse « Warba du Ganzourgou du Burkina Faso : origines et évolutions ». Ce sont au total 8 assistants option journalisme qui présenté ce 22 juin 2021 leur production devant les membres du jury.
DCMP/ISTIC
En savoir +Soutenance 2021 des Assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la communication, BAKY Laeticia ouvre le bal.
L’étudiante BAKY Laeticia de la filière Journalisme a ouvert ce jeudi 17 Juin 2021, le bal des soutenances, session de 2021. Elle s’est penchée sur la vie des étudiants de la diaspora sous le thème « Heurs et malheurs des étudiants de la diaspora burkinabè dans les universités de Ouagadougou. »
Bien qu’originaire du Burkina Faso, ceux-ci font face à de nombreuses difficultés. Difficultés d’intégration sociales et culturelles sont entre autres les points soulignés par l’impétrante qui s’en sort avec une note de 16/20.
Elle a été suivie de BELEM Noura qui a choisi de mettre en valeur la culture Burkinabè en dessinant le portrait de la divas Burkinabè, Amety Meria. La production de type télévisuelle a mis en exergue les débuts de l’artiste, son parcours musical et les difficultés rencontrées dans sa carrières d’artiste musicienne. Elle s’en est sorti avec une note de 16/20
« Double peine détenus mineurs » C’est le thème analysé par DIEBRE Pélagie. Il ressort de ce travail que les conditions de détention des mineurs sont difficiles à la Maison d’Arrêt et Correction de Ouagadougou(MACO). Certains se perfectionnent en se frottant tout simplement parce qu’ils ne sont pas incarcérés par délit. Quant aux filles mineures, elles sont logées avec les femmes adultes et sont obligées de plier à loi des adultes. Elle a suggéré la séparation des filles avec les femmes adultes, et l’incarcération par délit. Toute chose qui éviterait que d’autres ne sortent renforcés avec un esprit de faire pire que ce qui l’avait conduit à la MACO. Un travail apprécié par les membres du jury et sanctionné par la note de 17/20
Phénomène de mode, imitation, solution de facilité influence des réseaux sociaux, et la liste est longue. C’est ce qu’on peut retenir du travail de KASSONGO Zoenabo qui a porté sur « l’accouchement par césarienne, entre prescriptions médicales et phénomène de mode » Un phénomène qui a le vent en poupe de nos jours malgré que le risque Zéro n’existe pas. Mais il est difficile de porter un jugement du moment que nous sommes dans un Etat de droit et que chacune et chacun est libre de faire son choix. Un travail sanctionné par la note de 18/20.
Les soutenances se poursuivent demain 18 juin 2021, toujours à l’ISTIC Ecole sise à Koulouba 530 Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO.
Moctar OUEDRAOGO
ISTIC FM
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Soutenance 2021 des Assistants en Sciences et Techniques de l’Information et de la communication : BAKY Laeticia ouvre le bal
L’étudiante BAKY Laetitia de la filière Journalisme a ouvert ce jeudi 17 Juin 2021, le bal des soutenances, session de 2021. Elle s’est penchée sur la vie des étudiants de la diaspora sous le thème « Heurs et malheurs des étudiants de la diaspora burkinabè dans les universités de Ouagadougou. » Bien qu’originaire du Burkina Faso, ceux-ci font face à de nombreuses difficultés. Difficultés d’intégration sociales et culturelles sont entre autres les points soulignés par l’impétrante qui s’en sort avec une note de 16/20.
Elle a été suivie de BELEM Noura qui a choisi de mettre en valeur la culture Burkinabè en dessinant le portrait de la divas Burkinabè, Amity Meria. La production de type télévisuelle a mis en exergue les débuts de l’artiste, son parcours musical et les difficultés rencontrées dans sa carrières d’artiste musicienne. Elle s’en est sorti avec une note de 16/20.
« Double peine détenus mineurs » C’est le thème analysé par DIEBRE Pélagie. Il ressort de ce travail que les conditions de détention des mineurs sont difficiles à la Maison d’Arrêt et Correction de Ouagadougou(MACO). Certains se perfectionnent en se frottant tout simplement parce qu’ils ne sont pas incarcérés par délit. Quant aux filles mineures, elles sont logées avec les femmes adultes et sont obligées de plier à loi des adultes. Elle a suggéré la séparation des filles avec les femmes adultes, et l’incarcération par délit. Toute chose qui éviterait que d’autres ne sortent renforcés avec un esprit de faire pire que ce qui l’avait conduit à la MACO. Un travail apprécié par les membres du jury et sanctionné par la note de 17/20.
Phénomène de mode, imitation, solution de facilité influence des réseaux sociaux, et la liste est longue. C’est ce qu’on peut retenir du travail de KASSONGO Zoenabo qui a porté sur « l’accouchement par césarienne, entre prescriptions médicales et phénomène de mode » Un phénomène qui a le vent en poupe de nos jours malgré que le risque Zéro n’existe pas. Mais il est difficile de porter un jugement du moment que nous sommes dans un Etat de droit et que chacune et chacun est libre de faire son choix. Un travail sanctionné par la note de 18/20.
Les soutenances se poursuivent demain 18 juin 2021, toujours à l’ISTIC–École sise à Koulouba 530 Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO.
Moctar OUEDRAOGO
ISTIC FM
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