ISTIC FM contact@istic.bf +226 25 48 86 79

logologologo
  • Accueil
  • Présentation
    • historique
    • Mission
    • organisation
  • Formations
    • formation initiale
    • formation continue diplômante
    • formation continue certifiante
    • conditions d’admission
  • pratiques professionnelles
    • radio
    • télé
    • presse écrite
    • presse en ligne
    • communication
    • technologies des médias
    • Immersion en entreprise
    • voyages pédagogiques
    • Master class 2019
  • Bibliothèque
    • mémoires conseillés
    • production assistant
  • Actualités
    • istic FM en direct
    • podcast
  • Contacts

  • Accueil
  • Présentation
    • historique
    • Mission
    • organisation
  • Formations
    • formation initiale
    • formation continue diplômante
    • formation continue certifiante
    • conditions d’admission
  • pratiques professionnelles
    • radio
    • télé
    • presse écrite
    • presse en ligne
    • communication
    • technologies des médias
    • Immersion en entreprise
    • voyages pédagogiques
    • Master class 2019
  • Bibliothèque
    • mémoires conseillés
    • production assistant
  • Actualités
    • istic FM en direct
    • podcast
  • Contacts
logologologo
  • Accueil
  • Présentation
    • historique
    • Mission
    • organisation
  • Formations
    • formation initiale
    • formation continue diplômante
    • formation continue certifiante
    • conditions d’admission
  • pratiques professionnelles
    • radio
    • télé
    • presse écrite
    • presse en ligne
    • communication
    • technologies des médias
    • Immersion en entreprise
    • voyages pédagogiques
    • Master class 2019
  • Bibliothèque
    • mémoires conseillés
    • production assistant
  • Actualités
    • istic FM en direct
    • podcast
  • Contacts

  • Accueil
  • Présentation
    • historique
    • Mission
    • organisation
  • Formations
    • formation initiale
    • formation continue diplômante
    • formation continue certifiante
    • conditions d’admission
  • pratiques professionnelles
    • radio
    • télé
    • presse écrite
    • presse en ligne
    • communication
    • technologies des médias
    • Immersion en entreprise
    • voyages pédagogiques
    • Master class 2019
  • Bibliothèque
    • mémoires conseillés
    • production assistant
  • Actualités
    • istic FM en direct
    • podcast
  • Contacts
par istic.bf istic.bf29 avril 2022 actualites, voyage pédagogique0 comments

Opérationnalisation de l’imprimerie Sidwaya Bobo : Les premiers responsables confiants

La Direction régionale de l’Ouest des Editions Sidwaya pourra bientôt produire son journal sur place. L’information a été donnée par son Chef de Service commercial et marketing, Lassina Boro, au cours d’une visite des stagiaires journalistes de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC), le 29 avril 2022 à Bobo-Dioulasso.

Lassina Boro, chef de service commercial et marketing de Sidwaya Bobo. Ph.I.Kaboré

La Direction régionale des Editions Sidwaya a été installée dans la ville de Sya il y a près de 14 ans mais elle ne dispose  toujours pas d’imprimerie. Le journal est imprimé au niveau central à Ouagadougou, puis convoyé à Bobo-Dioulasso par les compagnies de transport en commun. C’est dans la mi-journée, entre 12h et 14h que la version papier parvient à la clientèle bobolaise. Cette situation rend difficile la livraison du journal à temps.

Pour pallier cette difficulté, Sidwaya a exploré plusieurs pistes notamment la livraison du journal par voie aérienne. Selon le Chef de Service commercial et marketing, Lassina Boro, des procédures administratives ont été entamées auprès des compagnies de transport aérien.

« Cependant le planning aérien ne répond pas au besoin de célérité de Sidwaya », a souligné M. Boro. Et d’ajouter que l’impression sur place du journal demeure l’une des priorités pour Sidwaya Bobo au vu de toutes ces difficultés. Malgré la lenteur des démarches administratives qui occasionnent le retard du fonctionnement de l’imprimerie, Lassina Boro rassure sur le processus de sa mise en fonction. « Si tout va bien Sidwaya Bobo aura une imprimerie» bientôt, a-t-il soutenu.

En attendant l’opérationnalisation de son imprimerie, Sidwaya Bobo satisfait ses clients à travers les autres canaux d’information que sont les plateformes numériques à savoir, le site web, les réseaux sociaux et le service mobile appelé Sidwaya mobile.

                                                                                                                            Natifa Kaly Traoré (journaliste stagiaire)

 

En savoir +
    s
0
par istic.bf istic.bf28 avril 2022 actualites, voyage pédagogique0 comments

Médias : Au cœur des défis de BF1 Bobo

Ce jeudi 28 avril 2022, les locaux de BF1 Bobo-Dioulasso ont reçu la visite des stagiaires en journalisme et techniques et technologies des médias de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC).  Cette visite a été l’occasion pour les stagiaires de discuter sur la vie du média dans la région et les difficultés rencontrées.

Depuis son installation en 2016 à Bobo-Dioulasso, la représentation de la télévision BF1 rencontre un certain nombre de difficultés.

Sur le plan de la couverture médiatique, l’insuffisance en personnel et en matériel et le difficile accès à l’information constituent des obstacles au bon fonctionnement de la station. « Ces difficultés sont la réalité de tous les médias, mais nous essayons de nous adapter quoiqu’il y ait des difficultés comme la lourdeur administrative qui nous contraint souvent à changer les angles de traitement de nos articles (…). Avec la passion qui nous anime, nous essayons de passer outre et de faire au mieux notre travail », a déclaré Justin Sotouo Dabiré, journaliste reporter d’images à BF1 Bobo.

Photo de Famille avec l’équipe BF1-Ph.Lionel Batiébo

La chaine bobolaise fait face aussi à des contraintes commerciales. Jacob Zongo, le Directeur Commercial Régional de BF1 à Bobo-Dioulasso, a particulièrement indexé les problèmes financiers. « Il y a des structures qui nous contactent pour des couvertures mais qui nous disent qu’elles ont un problème de budget. En ce moment, c’est une difficulté car nos grilles sont claires et la télé doit vivre. Le plus souvent, nous nous adaptons à la situation », expose-t-il.

Il a également évoqué les difficultés liées au payement des taxes à la Société Burkinabè de Télédiffusion (SBT).

Un meilleur maillage

Malgré tout, le bilan est satisfaisant, à écouter les premiers responsables. Depuis l’installation de la télévision en 2016, elle est arrivée à avoir une productivité constante.  Selon Jacob Zongo, BF1 Bobo s’est imposée comme une référence dans la région. Elle produit une émission à Bobo-Dioulasso dénommée « Faso siguidia » qui signifie « le vivre ensemble au Faso ».

Dans cette dynamique, le Directeur Commercial, Jacob Zongo, a confié qu’un meilleur maillage de la télé est en projet. Pour cela, « nous avons des correspondants et des représentants dans toute la région et même dans les Cascades », a-t-il dit.

Il est à noter que la visite du jour des étudiants de l’ISTIC s’est achevée par la découverte du studio BF1 de Bobo-Dioulasso.

ISTIC  Burkina

Mots Clefs

En savoir +
    s
0
par istic.bf istic.bf28 avril 2022 actualites, voyage pédagogique0 comments

FILSAH : A la découverte du secret de fabrication du fil de coton

Les étudiants de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) sont allés à la découverte de la Filature du Sahel (FILSAH), ce jeudi 28 avril 2022. Entrant dans le cadre de leur voyage pédagogique à Bobo-Dioulasso, l’objectif de cette visite de courtoisie était de permettre aux étudiants de renforcer leurs connaissances sur cette société évoluant dans le domaine du textile.

Zida Boukary_Responsable du Laboratoire et de l’Agencement de FILSAH-Ph.Lionel Batiébo

A la FILSAH, la fabrication du fil est divisée en trois compartiments. Il s’agit de la Filature 1 destinée à la fabrication du fil pour les vêtements et les produits divers.

La Filature 2 est destinée à l’assemblage (association de deux fils sans torsion) et au retordage qui est une association de deux fils avec torsion. Au niveau de la Filature 2, le fil produit à la Filature 1 y est amené pour le rendre plus fin. C’est là que les assemblages sont faits en fonction de la destination du produit. 

La filature 3 est l’enceinte dans laquelle les fils haut de gamme sont produits. C’est la section la plus modernisée avec les machines modernes et de dernière génération.

Pour Boukary Zida, responsable du Laboratoire et de l’agencement de FILSAH, cette organisation entre dans le cadre du processus d’extension de la structure.  « L’idéal aurait été que nous soyons installés dans les villes où le coton est produit, mais cela coûte cher. Pour pallier ce manque, nous avons entrepris cette extension. Sinon au début, c’était juste la filature 1 qui existe », a-t-il expliqué aux étudiants.

La conception du fil se fait en 5 étapes. Il s’agit dans l’ordre de l’ouvraison qui est la décomposition du coton, du battage qui est l’étape de l’élimination des déchets, du cardage, l’étape d’élimination des impuretés, de l’étirage qui consiste à assembler les rubans et le filage qui est la mise en forme du fil.

« Le processus de fabrication du fil est beaucoup plus long et plus complexe qu’on imagine »

Pour Stéphanie Bonkoungou, étudiante en communication deuxième année, cette visite tombe à point nommé dans la mesure où elle leur a permis d’entrer dans le monde du textile et d’avoir une idée sur le mode de conception du fil.

« Je suis satisfaite de la visite. Je sais maintenant comment le fil se fabrique et je connais les différents types de fil utilisés pour le tissu. Je ne savais pas ce qui se passait dans cette entreprise. Au début, j’ai pensé que c’était une entreprise étatique mais ce n’est pas le cas. Le processus de fabrication du fil est beaucoup plus complexe qu’on ne l’imagine. Il est difficile et demande beaucoup de moyens et de machines », a dit Stéphanie Bonkoungou.

 

« J’ai été surpris par la motivation des étudiants »

 

Les responsables de FILSAH ont déclaré avoir été heureux d’accueillir les étudiants de la 34ème promotion de l’ISTIC. Boukary Zida, Responsable du laboratoire et de l’agencement de FILSAH, par ailleurs l’un des guides lors de la visite, a indiqué que c’est l’occasion pour sa structure de se faire connaître.

« C’est toujours un plaisir pour nous de recevoir des visiteurs. J’ai été surpris par la motivation des étudiants. Les visiteurs étaient motivés et ont posé des questions très pertinentes. Ils ont fait des suggestions. Les remarques et les critiques nous permettent de mieux nous former » a-t-il dit.

En rappel, la Filature du Sahel a été créée en 1998 mais elle est entrée en fonction en janvier 2000.  La société produit et vend par an 10 000 tonnes de fil de coton.  Elle produit du fil simple et du fil à torsion.

 

ISTIC Burkina

Mots Cléfs

 

En savoir +
    s
1
par istic.bf istic.bf27 avril 2022 actualites, voyage pédagogique0 comments

Des stagiaires de l’ISTIC découvrent la vieille mosquée de Dioulassoba

Les stagiaires assistants de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) ont visité ce mardi 26 avril 2022, la Mosquée de Dioulassoba, en compagnie d’un guide, afin d’en savoir plus sur le site touristique. 

La Mosquée de Dioulassoba a été construite vers la fin du XVIIIe siècle par l’Imam Sakidi Gaoussou Sanou. Sa construction a duré environ une décennie, selon Seydou Sanou, guide principal de la mosquée. Cet édifice est la première mosquée de la ville, d’où son appellation “vieille mosquée de Dioulassoba”.

Dans sa construction, de la terre cuite de couleur ocre, de la paille, du beurre de karité ont été utilisés. Ce qui fait de cette mosquée une des architectures remarquables de la zone sahélienne.

Ce lieu de prière peut contenir environ 810 personnes réparties dans 18 rangées de 45 personnes, dont 9 pour les femmes et 9 pour les hommes.

La mosquée  de Dioulassoba est un repère religieux et culturel. Elle demeure une richesse culturelle et architecturale pour la capitale économique du Burkina Faso, selon Seydou Sanou.

Mais il faut noter que ces dernières années à cause du terrorisme et du coronavirus, l’affluence touristique est au ralenti, a regretté le guide principal.

Rappelons que le minaret principal de la mosquée de Dioulassoba s’est totalement effondré le 08 août 2021. Grâce à une souscription populaire et au soutien financier du gouvernement, le minaret est en cours de réhabilitation et le coût est estimé à près de 500 000 000 de F CFA.  

En savoir +
    s
0
par istic.bf istic.bf25 avril 2022 actualites, voyage pédagogique0 comments

Voyage pédagogique 2022 : Les stagiaires de l’ISTIC sont arrivés à Bobo-Dioulasso

Dans le cadre des pratiques professionnelles à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC), les stagiaires de l’institut ont entrepris un périple qui les a amenés à Bobo-Dioulasso, ce 24 avril 2022.  

Il est 9h00 lorsque les stagiaires de l’ISTIC quittent Ouagadougou pour Bobo-Dioulasso. Pendant 7 heures de route, ils ont parcouru les 365 kilomètres qui séparent le centre du pays de la capitale économique.

C’est dans une ambiance conviviale et bon enfant que les futurs journalistes et communicants ont vécu le trajet et sont arrivés dans la cité de Sya  aux environs de 17 heures.

Pour Rachid Porgo, apprenant en Communication deuxième année, le voyage a été long mais paisible.

«Dans l’ensemble, le voyage s’est bien passé. C’était long et c’était fatiguant mais on s’est bien senti», a-t-il déclaré.

Le voyage s’est passé dans une ambiance bon enfant © ISTIC

Quant à Moumouni Badolo, également en communication, il s’est senti en famille. Le cadre était convivial et l’ambiance était au beau fixe. «Franchement, tout était confortable. Il y avait de l’ambiance dans le car. On se sentait en famille. Le cadre était convivial mais avec beaucoup d’escales », a-t-il observé.

Il est à noter que ce voyage pédagogique intervient dans le cadre des pratiques professionnelles de l’ISTIC. Après la phase presse écrite, télé et radio, ils seront en immersion dans la phase web journalisme.

Pendant 10 jours, les stagiaires journalistes et  communicants mettront en pratique les connaissances acquises au cours de leur formation.

Ismaël Saydou GANAME

ISTIC

En savoir +
    s
1
par istic.bf istic.bf20 septembre 2021 actualites, voyage pédagogique0 comments

Port sec de Bobo : Une infrastructure moderne pour améliorer le traitement du fret national et international

Le Port sec de Bobo-Dioulasso (BOBORINTER) est une infrastructure de réception et de traitement de marchandises à l’importation et à l’exportation, réalisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso au profit des opérateurs économiques et de l’administration publique, notamment l’administration des douanes. L’infrastructure a été visitée ce lundi 20 septembre 2021 par les stagiaires conseillers en fin de formation de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC).

Bâti sur une superficie de 19 ha, le port sec de Bobo Dioulasso est réparti en six (6) zones, à savoir la zone sous douane, la zone du terminal à conteneurs, la zone de transit étranger, la zone hors douane, le centre de vie et la zone administrative.

Présentement Boborinter est en phase d’extension pour porter le port sec à 40 ha. « Tout camion qui entre à Boborinter doit faire l’objet d’une pesée avant d’être orienté vers l’une des zones du port sec de Bobo-Dioulasso et le temps de dédouanement d’excède pas 72 heures», explique Idrissa Barro, agent d’exploitation de Boborinter. La gare routière internationale de Bobo-Dioulasso dispose d’une zone de pesage des camions équipée d’un pont bascule d’une capacité de 100 tonnes.

Vue des camions en attente de formalités douanières © Léon GAGRE

Le Laboratoire national de santé publique (LNSP) effectue les analyses sur place pour s’assurer du contrôle de qualité des aliments qui seront mis sur le marché burkinabè.

Plus d’un million de tonnes de marchandises

Selon Idrissa Kafando, chef d’exploitation, « Boborinter reçoit en moyenne 100 camions par jour. Toutes les formalités douanières à l’import et en export se font sur place. Le port sec de Bobo est desservi par un embrasement ferroviaire pouvant recevoir sept (7) wagons. Il reçoit également les véhicules légers importés. »

Explication des différentes zones du port sec © Léon GAGRE

Toujours selon Idrissa Kafando, « le volume global des marchandises sous douane et en transit traité au port sec est passé de 350 000 tonnes en 2009 sur l’ancien site Bobo gare à près de 1 150 000 tonnes en 2016, soit une hausse de plus de 230%. Les recettes douanières sont passées de 35 milliards de francs CFA à plus de 88 milliards de francs CFA sur la même période. »

Le projet de réalisation d’un port sec à Bobo-Dioulasso a été envisagé dans les années 1980. Son objectif était de contribuer à la relance du développement économique de la région de Bobo-Dioulasso, à travers la réalisation d’une plateforme moderne de réception et de traitement de marchandises.

Le port sec de Bobo-Dioulasso est entré en exploitation en janvier 2010. L’extension et la réhabilitation en cours vont coûter environ 10 milliards de francs CFA et financées par la Chambre de commerce, la Banque ouest africaine pour le développement (BOAD), Coris Bank international et la Bank of Africa.

Groupe D

En savoir +
    s
2
par istic.bf istic.bf19 septembre 2021 actualites, voyage pédagogique0 comments

Bobo-Dioulasso : De l’origine de la ville au minaret écroulé de Dioulassoba

Le chef des Bobo Mandarè, Sidiki Sanon, a reçu en audience les stagiaires de l’ISTIC dans le cadre de leur voyage pédagogique ce 19 septembre 2021. Les étudiants se sont ensuite rendus à la mosquée de Dioulassoba, un des sites touristiques de Bobo-Dioulasso.

Avec Sidiki Sanon, les échanges ont porté sur plusieurs sujets : l’histoire de la chefferie traditionnelle bobo, les silures sacrés de Dafra, l’insécurité dans la région ouest.

A propos de la création de la ville de Bobo-Dioulasso, le chef coutumier a indiqué que celle-ci procède d’un songe dans lequel le fondateur a reçu l’indication du lieu où il doit s’établir. Ce qui correspond à l’emplacement actuel du palais royal.

Les stagiaires de l’ISTIC face au chef des bobos Mandarè

A propos du nom Sanou répandu chez les bobos, le chef traditionnel a expliqué que le premier homme à le porter, payait les services des guerriers avec de l’or. Ce métal jaune est appelé “sanou’’ en dioula et ‘’sanon’’ en langue bobo.

Les stagiaires ont aussi appris l’importance des silures sacrés chez les bobos. Il s’agit de leur totem parce que leur ancêtre aurait signé un pacte avec les silures. Toute personne qui a des besoins spécifiques pourrait se confier aux silures pour obtenir leur protection. Selon Sanou Siaka, l’un des ministres du chef, « si ces silures meurent, ils sont enterrés comme les humains ».

Le jour où le minaret est tombé

Puis la délégation de l’ISTIC a mis le cap sur la mosquée de Dioulassoba pour découvrir ce patrimoine de renommée internationale.

Conduits par le guide touristique Seydou Sanou, les étudiants ont visité les différents compartiments de la mosquée. Elle supportait un minaret de 5 étages qui est tombé un vendredi, quelques heures avant la prière commune. « C’était un jour de vendredi et le gouverneur a envoyé un technicien qui a recommandé de ne pas prier dans la mosquée ce jour et c’est ainsi que les fidèles ont été priés de s’installer dans la cour. Le minaret est finalement tombé vers 11h le 13 août 2021 », a souligné le guide.

Les étudiants entrent dans la vieille mosquée de Dioulassoba

Le minaret sera restauré après les travaux de réhabilitation actuellement en cours sur d’autres parties de la mosquée, a laissé entendre le guide Sanou.

La mosquée a été construite dans les années 1870 et a une capacité d’accueil de plus de 800 personnes.

En savoir +
    s
6
par istic.bf istic.bf16 septembre 2021 actualites, voyage pédagogique0 comments

Voyage pédagogique : les élèves conseillers de l’ISTIC dans les locaux de la télévision Bf1 Bobo

Les stagiaires conseillers en sciences et techniques de l’information et de la communication en fin de formation ont visité les différents services de la chaîne au cœur des grands défis dans la ville de Sya, ce jeudi 16 septembre 2021. Ils se sont imprégnés des conditions de travail des agents.

Sotouo Justin Dabiré, journaliste reporter d’images à BF1 Bobo © Olivier Bassolé.

Dirigée par Michelle Diawara, la création de la direction régionale de la télévision Bf1 Bobo date de 2016. Elle a connu une évolution considérable selon les dires de Sotouo Justin Dabiré, journaliste reporter d’images. La direction régionale de Bobo compte une dizaine d’agents.

Elle comprend trois (3) services à savoir la rédaction, la production et le service commercial. Elle vient de se doter d’un studio d’enregistrement. Il est équipé de matériel adéquat qui permet de travailler dans des conditions optimales, selon Abdoulaye Barro, chef de la production. Il s’agit, entre autres, d’une table analogique de 32 pistes, d’un mélangeur vidéo, d’un data vidéo, des caméras pilotées par un dispositif data vidéo, de caméras manuelles sur pieds. « Pour le moment une seule émission en langue Jula (Faso siguidia) est enregistrée dans ce studio », a précisé Abdoulaye Barro.

Le service rédaction est composé de quatre (4) journalistes dont deux (2) permanents et deux (2) stagiaires.

« L’équipe de la rédaction couvre au maximum cinq activités par jour, y compris les sujets d’initiative et les activités commerciales. Dans l’ensemble, l’entreprise ne rencontre pas de difficultés majeures », a ajouté Sotouo Justin Dabiré journaliste reporter d’images à Bf1 Bobo.

Bf1 Bobo exhorte les étudiants de l’ISTIC à plus d’abnégation

Abem Aousségué, directeur de la formation initiale de l’ISTIC © Olivier Bassolé.

Tout en remerciant la délégation de l’ISTIC pour sa marque de confiance à la télévision régionale de Bf1 Bobo, Sotouo Justin Dabiré a invité les stagiaires à plus d’abnégation et d’amour pour le métier qu’ils vont embrasser bientôt.

Le Directeur de la formation initiale de l’ISTIC, Abem Aousségué voit en cette visite, « une occasion pour permettre aux étudiants de connaître les conditions de travail des organes de presse et de renforcer leurs capacités professionnelles afin de faciliter leur insertion socio-professionnelle».

Les étudiants pour leur part se sont dit émerveillés après leur visite des locaux de Bf1 Bobo. Pour eux, cette immersion permet de toucher du doigt les réalités de la profession du journalisme.

Bf1 Bobo ne diffuse pas pour le moment. Les émissions enregistrées et les reportages sont envoyés à Ouagadougou pour diffusion.

GROUPE D

En savoir +
    s
0
par istic.bf istic.bf16 septembre 2021 actualites, voyage pédagogique0 comments

Sidwaya Bobo : un projet d’implantation d’une imprimerie

Les éditions Sidwaya vont se doter d’une imprimerie à Bobo-Dioulasso. Le bâtiment est déjà construit, et il ne reste plus que les équipements. Le projet a été expliqué ce jeudi 16 septembre 2021 aux étudiants de l’Institut des Sciences et Techniques de l’information et de la communication (ISTIC) en visite à la direction régionale de l’Ouest des éditions Sidwaya.

Le projet d’implantation d’une imprimerie des éditions Sidwaya à Bobo-Dioulasso vise à permettre aux lecteurs de disposer de journaux dès 6h, et des autres régions le plus tôt possible, a laissé entendre Fréderic Ouédraogo, Directeur régional de l’Ouest des éditions Sidwaya.

Cette imprimerie va permettre également d’éditer un journal régional à partir de la ville de Sya, et ainsi être un media de proximité. L’autre objectif de l’imprimerie à Bobo-Dioulasso est de pallier les éventuelles pannes de celle de Ouagadougou, a poursuivi Fréderic Ouédraogo.

Vue du bâtiment devant abriter l’imprimerie © Léon Gagré

Après plus de 7 ans le projet tarde à se concrétiser. « Le gouvernement avait pris l’engagement d’apporter plus de 2 000.000.000 de Fcfa pour les équipements. Sidwaya a même déjà eu une dotation de 147 000 000 FCFA de la part de l’Etat, et le reste devait suivre de façon échelonnée. Le bâtiment a déjà été construit par le Conseil Régional des Hauts-Bassins à environ 30 000 000 Fcfa », a mentionné Fréderic Ouédraogo.

Récemment le conseil d’administration a profité d’une formation à Bobo-Dioulasso pour visiter la direction régionale de l’Ouest des éditions sidwaya. Il est dans la même logique que l’Etat à savoir mettre tout en œuvre pour que cette imprimerie soit fonctionnelle, a ajouté le Directeur régional de l’Ouest des éditions Sidwaya. Mais avant, la direction régionale de l’Ouest des éditions Sidwaya doit être renforcée en personnel.

Frédéric Ouédraogo, directeur régional de l’Ouest des éditions Sidwaya © Léon Gagré

Sidwaya connait un manque crucial de ressources humaines

En plus des difficultés pour l’implantation de son imprimerie, Sidwaya connait un manque crucial de ressources humaines.

« A Bobo-Dioulasso, le problème de ressources humaines est plus criard au niveau de la rédaction. En effet, elle doit être étoffée car nous n’avons que deux journalistes. Très souvent, le Directeur lui-même et son rédacteur en chef sont obligés d’aller en reportage. Malgré cela, nous arrivons à relever le défi surtout que nous avons des concurrents », a confié Fréderic Ouédraogo.

La direction régionale de l’Ouest des éditions Sidwaya existe depuis 2008 et couvre le grand Ouest (Boucle du Mouhoun, Cascades, Hauts-Bassins, Sud-Ouest), composé de quinze provinces.

GROUPE D

En savoir +
    s
0
par istic.bf istic.bf15 septembre 2021 actualites, voyage pédagogique0 comments

Voyage pédagogique : Les stagiaires de l’ISTIC au Centre agricole polyvalent de Matourkou

Les stagiaires conseillers de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) ont visité les locaux du Centre agricole polyvalent de Matourkou (CAP/Matourkou), le 15 septembre 2021 dans le cadre de leur voyage pédagogique. Ils ont découvert les potentialités de cette école de formation.

Les stagiaires conseillers en journalisme et techniques et technologies des médias de l’ISTIC ont visité un peu plus tôt la RTB Hauts-Bassins avant de prendre la direction du CAP Matourkou, avec leurs camarades de la filière communication. Ils arrivent autour de 11h.

Les étudiants visitent les champs expérimentaux ©  A. Gadiri 4 DIALLO

Ils se sont installés dans la salle de conférence afin d’échanger avec les responsables du centre.

La séance a commencé par les présentations respectives des membres de la délégation de l’ISTIC et les représentants du centre agricole polyvalent de Matourkou. Les stagiaires ont, avec attention et intérêt, pu comprendre qu’en plus de former les jeunes dans les domaines comme l’agriculture, l’élevage, l’agro-alimentaire, le centre contribue à la réduction du chômage.

Le secrétaire général du CAP/Matourkou © F. Mamadou OUATTARA

Satisfaits de la présentation du centre faite par Mamadou Lamine Ouattara, Directeur de l’aménagement et de la mise en valeur du CAP Matourkou, les stagiaires quittent la salle et font une visite guidée des champs expérimentaux du CAP.

Les sites visités sont entre autres la parcelle vitrine, la parcelle production d’igname, l’usine de transformation NAFASO, la ferme agricole.

GROUPE C

En savoir +
    s
0
  • 1
  • 2
FORMATIONS DEBOUCHES PRATIQUES PROFESSIONNELLES INSCRIPTIONS ACTUALITES CONTACTS
  ISTIC / Institut des Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication. ISTIC / KOULOUBA, 530
Avenue Pr Joseph KI ZERBO
03 BP 7135 Ouagadougou 03
Tél : +226 25 48 86 79
E-mail : contact@istic.bf

Copyright © istic - 2019