
Valorisation de son image de marque : l’ISTIC affiche son dress code
Le mercredi 1er Décembre de l’an 2021 marque une date importante dans la vie de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC).

Stagiaires de l’ISTIC
C’est le 1er jour du port de la tenue vestimentaire pour les stagiaires, de tous cycles et filières confondus.
Les stagiaires sont désormais soumis à un dress code au cours de la semaine des cours allant du costume complet à la chemise simple ou le polo.
Ce dress code participe de la visibilité de l’Institut et contribue à la valorisation de son image de marque.
Il a pour objectif également de créer un esprit de cohésion et de famille et de renforcer le sentiment d’appartenance à l’ISTIC.
En savoir +Voyage pédagogique 2021 des conseillers en STIC : Les stagiaires visitent le Conseil régional des Hauts-Bassins et la Mairie
Les stagiaires conseillers en journalisme, communication et techniques et technologie des médias, ont échangé avec les responsables du Conseil régional des Hauts-Bassins et la Mairie.
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Voyage pédagogique 2021 : Les stagiaires conseillers de l’ISTIC sont dans la cité de Sya
Les stagiaires conseillers en sciences et techniques de l’information et de la communication (journalistes, communicants et techniciens) en fin de formation, de l’Institut des sciences et techniques de l’Information (ISTIC) ont entamé leur voyage pédagogique ce dimanche 12 septembre 2021. Bobo-Dioulasso la capitale économique du Burkina Faso est la ville hôte de cette activité pédagogique majeure au cours de laquelle les stagiaires sont amenés à produire des contenus informatifs à diffuser sur la télévision en ligne, la radio, la page Facebook et le site web de l’école.
C’est aux environs de 8h 30, sous un ciel nuageux que le convoi des étudiants, accompagnés par des membres de l’administration et par certains encadreurs, a pris la direction de la ville de Sya.
Dès la commune de Tanghin Dassouri, le ciel ouvre ses vannes. Le voyage s’effectue sous une belle averse jusqu’à « l’incontournable » escale de Boromo. Occasion pour les uns et de autres de se dégourdir les jambes, de se désaltérer et surtout de déguster les victuailles de cette ville passée maître dans l’art de la grillade.
Après une belle pause de 50 minutes et un ravitaillement en cacahuètes, sésame et bananes, le voyage reprend sous des gouttelettes de pluie. Dans les bus l’ambiance est bon-enfant. Aux histoires drôles entrecoupées d’éclats de rire se succèdent des débats sur divers sujets.
Arrivés à bon port
Par moment, le calme tombait comme dicté par un ordre venu de nulle part. Le beau temps et l’air conditionné des bus y étaient certainement pour quelque chose. Le professionnalisme des conducteurs a permis d’effectuer un bon voyage malgré une visibilité réduite et la chaussée restée trempée sur la quasi-totalité du trajet.
A 15h 45, les passagers du convoi aperçoivent les premiers panneaux souhaitant la bienvenue à Bobo-Dioulasso. Les commentaires sur le séjour reprennent de plus belle jusqu’aux sites d’accueil.
Les différents groupes sont bien installés et attendent de dérouler leur programme d’activités dès le lundi 13 septembre 2021.
Ce voyage se tient du 12 au 22 septembre et entre dans le cadre de l’immersion des stagiaires conseillers en journalisme, techniques et technologies des médias et communication dans différentes situations professionnelles sur le terrain.
Groupe A
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INFORMATION-MCRP
Dans sa vision d’améliorer l’organisation et la mise à disposition de l’information officielle aux Burkinabè, aux amis et aux partenaires du Burkina Faso, le Ministère chargé de la Communication à travers la Direction générale de la Communication (DGCOM) a élaboré de nouveaux outils de communication. Il s’agit :
- du Focus hebdomadaire des décisions du Conseil des ministres ;
- du bimestriel «La Marche du Burkina Faso» ;
- des fiches sur les acquis du Gouvernement de 2016 à 2020 dans certains secteurs de développement.
Ces outils sont élaborés uniquement en version numérique.
Le bimestriel dénommé «La Marche du Burkina Faso» met en exergue les grandes décisions du Conseil des ministres, les défis sécuritaires relevés par les Forces de Défense et de Sécurité ainsi que les grands chantiers symboles d’un Burkina Faso qui gagne et qui avance. Le premier numéro sera diffusé ce 1er septembre 2021.
Rendez-vous est pris avec « La Marche du Burkina Faso», ce 1er septembre 2021 sur les plateformes web du ministère de la Communication et ses partenaires.
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Modernisation de l’administration : l’ISTIC se dote d’un guide d’archivage
L’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) a procédé ce mardi 03 Août 2021, à ISTIC-Ecole à la présentation et à la validation de son guide d’archivage. C’était en présence du Directeur Général de l’Institution et l’ensemble des Directeurs et Chefs de Service.
Débuté le 13 juillet 2021 dernier, le processus d’élaboration du guide d’archivage des documents physiques et numériques de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) a connu son épilogue ce mardi 03 Août 2021 à ISTIC-Ecole. En effet, sous la houlette du Directeur de la Formation Continue et de la Recherche Appliquée monsieur Paul Ismaël BICABA, les acteurs impliqués dans l’élaboration de ce guide d’archivage dont le Directeur Général de l’ISTIC monsieur Zoumana TRAORE et des experts en la matière se sont réunis pour la présentation et la validation de cet outil qui apparaît comme un maillon important dans la modernisation des services de l’administration publique.
Selon Zoumana TRAORE, en élaborant ce guide, l’ISTIC entend conserver sa mémoire en vue de consolider ses acquis. Cet outil apparaît capital de par ses rôles que sont la gestion quotidienne des services, la justification des droits et la conservation de la mémoire”.
Pour Madame KABRE Franceline, archiviste à la SONATER et l’une des experts qui a présenté le travail d’élaboration, l’archivage est une science ignorée par la majorité de l’administration publique.
Pour l’élaboration de ce guide de l’ISTIC, l’équipe des experts a d’abord collecté les données auprès des différents services de l’ISTIC afin de faire l’état des lieux de la pratique d’archivage de l’Institut.
Il ressort de ces états de lieux qu’il existe un effort de conservation des archives. Cependant, quelques difficultés dont l’adaptabilité des locaux nécessite d’être améliorer. Ce guide apparaît donc comme fondamental puisqu’il donne toutes les informations permettant de mieux conserver les archives physiques et numériques de l’ISTIC.
Après amendement des acteurs, le guide a été validé sous réserve de prise en compte des amendements.
DCMP/ISTIC

Voyage pédagogique Bobo 2021 : L’apothéose dans la salle Casimir Koné
Pour l’apothéose du voyage pédagogique, les stagiaires de l’ISTIC (Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication) ont organisé une soirée cinématographique le samedi 10 juillet 2021 dans la salle Casimir Koné de la RTB2 Hauts-Bassins. Cette soirée a connu la participation de plusieurs personnalités et du public bobolais venus nombreux suivre les films des étudiants.

Pélagie Diébré, la réalisatrice sur les mineurs détenus à MACO © ISTIC Mandzaba Claver
« Se grossir les fesses et les seins un phénomène qui prend de l’ampleur au Burkina Faso » du stagiaire en journalisme Frédéric Nikiéma et « Double peine pour détenus mineurs de la MACO » de la stagiaire Pélagie Diébré sont les deux films projetés au cours de la soirée cinématographique, clôturant le voyage pédagogique des stagiaires assistants de la 33e promotion de l’ISTIC.

Les parrains et la marraine aux côtés du Secrétaire général de l’ISTIC (en blanc) © Mandzaba Claver
Les images captées par les stagiaires sur la pratique du grossissement des seins et des fesses ont par moment suscité des éclats de rire dans l’assistance et pendant que les témoignages de mineurs emprisonnés à la Maison d’Arrêt et de Correction de Ouagadougou (MACO) ont arraché des soupirs de tristesse.

Frédéric Nikiéma, le réalisateur du film sur le grossissement des fesses et des seins © Mandzaba Claver
De quoi conforter la marraine Eveline Dabiré à dire que les productions montrent la volonté des étudiants d’aller de l’avant. Elle les a invités à cultiver l’esprit du travail bien fait.
Le représentant des parrains, Moutamou Kani, directeur de publication de l’Express du Faso, a, en son nom propre et celui du directeur général des Editions Sidwaya, exprimé sa satisfaction quant à l’organisation de cette soirée. Il s’est engagé à accompagner les étudiants pour la recherche des stages dans les différents médias et entreprises.
Un succès
A la fin des projections, les deux réalisateurs se sont prononcés sur les conditions dans lesquelles ces films ont été réalisés et les difficultés rencontrées sur le terrain.

Marina Ouédraogo, Lauréate de Faso Academie, pendant sa prestation © Mandzaba Claver
Arsène Evariste Kaboré, Secrétaire général de l’ISTIC, a tiré la conclusion que « cette soirée a été un succès ». Se réjouissant de l’organisation, il a tenu à féliciter les encadreurs et les étudiants pour le travail abattu.
Au cours cette soirée riche en émotions, le public a eu droit à la prestation de la lauréate de FASO ACADEMIE 2020 Marina Ouédraogo. Les rideaux sont tombés après la remise de présents aux parrains de la cérémonie.
Doriane NASSOURI et Boukary KINDA
Stagiaires en journalisme
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La princesse Guimbi Ouattara une médiatrice aux multiples talents
Parmi les sites touristiques de la belle cité de Sya se compte le mausolée Guimbi Ouattara, l’un des monuments culturels qui permet à la population de se rappeler de cette grande amazone de l’empire du Guiriko. Les stagiaires assistants de l’ISTIC en fin de formation se sont rendus ce samedi 10 juillet sur ledit site. Cette visite a permis aux étudiants d’en savoir davantage sur la vie de cette figure emblématique.
Connue comme étant une amazone et une médiatrice de l’empire du Guiriko, la princesse Guimbi Ouattara n’a eu aucun enfant biologique. Déjà mariée à l’âge de 15 ans à Mori Fimba Ouattara, la princesse Guimbi Ouattara s’est remariée à Drissa Touré après la mort de son premier mari.
Malgré les multiples qualités qu’elle avait, l’enfantement n’était pas rendez-vous. Ce qui ne l’a pas empêchée d’avoir des enfants sous sa garde, car dans l’organisation de la société Dioula, l’adoption est une réalité socio-culturelle. « La princesse Guimbi Ouattara n’a pas eu un enfant biologique mais elle a eu des enfants adoptifs à telle enseigne qu’on ne pouvait pas venir ici et se rendre compte qu’elle n’avait pas d’enfant», a laissé entendre le guide touristique Drissa Ouattara.
Le don de la maternité
Guimbi Ouattara avait particulièrement un don qui lui permettait de faciliter les accouchements difficiles. Ce don lui venait de sa génitrice Alima Ouattara. Selon le guide, la princesse appliquait un produit sur une meule et une fois que la femme enceinte consomme ce produit, elle accouche facilement.
La princesse GUIMBI Ouattara était aussi une médiatrice aguerrie. Elle a conduit la médiation qui a permis d’épargner l’empire Guiriko des griffes de Samory Touré. Sa notoriété lui a valu d’accueillir plusieurs personnes notamment l’explorateur Binger. Ce dernier a séjourné durant sept(7) jours à Bobo avant de reprendre sa route.
« Bio express de GUIMBI Ouattara »
La princesse Guimbi est née vers 1836, à Bobo-Dioulasso. Fille de Diori Ouattara et de Alima Ouattara, elle fut une dame au grand cœur. Ce qui lui a valu sa réputation. Décédée en 1919, sa tombe se trouve au secteur 3 de Bobo-Dioulasso. En guise de reconnaissance, une maternité porte son nom pour lui rendre hommage.
Bella OUEDRAOGO
Chaabane OUATTARA
Stagiaires en journalisme
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[En direct] La soirée cinématographique des stagiaires de l’ISTIC
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Samendeni : Le 3e grand barrage du Burkina Faso conté
Les stagiaires assistants en fin de formation à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication ont effectué une visite de découverte du barrage de Samendeni, l’un des plus grands barrages du Burkina Faso ce vendredi 10 juillet 2021.
Situé dans la région des Hauts –Bassins, à une soixantaine de kilomètres de Bobo-Dioulasso, le barrage de Samendeni est le 3e plus grand barrage du Faso, après celui de la Kompienga d’une capacité de 2 milliards de m3 et celui de Bagré d’une capacité de 1,7 milliard de m3. Il a été réalisé grâce au Programme de Développement Intégré de la vallée de Samendeni (PDIS) pour un coût estimé à plus de 61 milliards 600 millions de FCA.
Le PDIS est financé par plusieurs partenaires dont la Banque arabe pour le développement économique de l’Afrique (BADEA), la Banque islamique pour le Développement (BID), la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD ), entre autres, et bien entendu de l’Etat burkinabè. Le barrage de Samendeni a une capacité de 1 milliard 50 millions de m3 d’eau, une digue d’une longueur de 2900 mètres et une hauteur maximale d’environ 24 mètres.
Le barrage de Samendeni a pour mission de contribuer à la sécurité alimentaire, en valorisant le potentiel hydraulique, faunique agricole, agricole, pastoral et touristique de la vallée de Samendeni.
« Emerveillée » !
« Je suis émerveillée de voir le barrage et je suis aussi contente parce qu‘il va permettre de réduire le chômage et je vois en ce barrage une source de revenus pour le développement du pays », indique Doriane Nassouri, journaliste stagiaire de l’ISTIC.

Abdul Kader Ouédraogo a conduit la visite guidée © ISTIC
« C’est émouvant ! C’est beau ! Parmi tous les barrages que je connais au Burkina, celui de Samandéni est le plus grand que j’ai eu à visiter. Cette visite me permet de comprendre le mode de fonctionnement d’un barrage ainsi que son utilité », affirme Salamatou Dicko, stagiaire en journalisme.
Selon Abdul Kader Ouédraogo du PDIS, « le barrage a pour objectif de contribuer à la mobilisation des ressources en eau, à l’accroissement de la production agricole et énergétique en vue de contribuer au développement socio-économique du Burkina Faso ». Le barrage a également pour but d’assurer une croissance du secteur rural, renforcer la sécurité alimentaire du Burkina Faso, lutter contre la pauvreté, protéger l’environnement.
La zone industrielle qui verra bientôt le jour permettra en effet de transformer les produits sur place avec une plus-value pour les populations.
Laeticia BAKY
Stagiaire en journalisme
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