Soutenance des Assistants en STIC : GAMPINE Ilwin Sylvain analyse des actions de communication de l’ISTIC
Les soutenances se poursuivent cet après- midi du jeudi 22 juin 2023 à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) avec l’impétrant GAMPINE Ilwin Sylvain.
Ce dernier a présenté et défendu son travail portant sur l’analyse des actions de communication de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication pour le recrutement des stagiaires en 2022-2023.
Le jury a jugé son travail de qualité en lui donnant la mention bien. Désormais, il est titulaire du diplôme d’assistant en sciences et techniques de l’information et de la communication après deux ans de formation .
DCMP/ISTIC
Soutenance des assistants en STIC : mention « excellente» pour Renée Edith Compaoré
Renée Edith Compaoré a soutenu sur le thème : “Analyse des pratiques de communication de la chambre de commerce et de l’Industrie du Burkina Faso portant sur la promotion de la 7ème édition de Africallia”.
Après sa présentation et les échanges avec les membres du jury, l’étudiante dont la qualité du travail a été reconnue par le jury a obtenu la mention « excellente»
Soutenance des assistants en STIC : BALO Gloria Rolande obtient la mention bien
Balo Gloria Rolande, étudiante en journalisme à l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC), a présenté sa production ce jour 22/06/2023 pour l’obtention du diplôme d’Assistant en communication et journalisme option journalisme.
Son étude a porté sur le thème “Ouagadougou, la cité du poulet”. Devant un jury composé essentiellement de professionnels du domaine, cette épreuve lui a permis d’évaluer ses acquis de formation de 21 mois.
Son travail, jugé de qualité et acceptable, a été sanctionné par la mention bien.
DCMP/ISTIC
Soutenance des assistants en STIC : Les travaux de Cynthia L. BICABA sanctionnés par la mention très bien
La candidate Cynthia L. BICABA a soutenu, ce 22 juin 2023 à l’ISTIC, pour l’obtention du diplôme d’assistant(e) en Sciences et Technique de l’Information et de la Communication.
Son étude de cas a porté sur “Les actions de communication de la SOFITEX pour la relance de la production cotonnière sur la campagne 2018-2019”. Au terme de la présentation, de la phase des questions /réponses, elle a obtenu la mention très bien.
DCMP/ISTIC
ISTIC: le nouveau PCA, Pascal Yemboini THiomibiano installé
Le secrétaire général du ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Fidèle Aymar Tamini, a présidé ce 21 juin 2023 à Ouagadougou la cérémonie de passation de charge entre le président du conseil d’administration sortant de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC), en présence de la Directrice générale de l’ISTIC, Docteure Alizeta OUOBA /COMPAORÉ .
Nommé en Conseil des ministres le 31 mai 2023, Pascal Yemboini THIOMBIANO remplace Barnabé KIEMTAREBOUM. Monsieur THIOMBIANO a pris l’engagement de donner le meilleur de lui-même , pour l’atteinte des missions de l’Institut.
Le secrétaire général n’a pas manqué de féliciter le PCA sortant pour le travail abattu. Il a terminé en souhaitant une bonne mission fructueuse à Pascal Yemboini THIOMBIANO.
Voyage pédagogique bobo 2023 : c’en est fini pour le partage d’expériences dans la cité de Sya !
Après plus d’une semaine de dur labeur, les équipes d’encadrement, de l’administration ainsi que celles des stagiaires ont quitté la cité de Sya et sont arrivées dans la soirée du 8 mai 2023 à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) à Ouagadougou.
Plus d’une soixantaine de stagiaires de la 35e promotion du niveau assistant de l’ISTIC ont pu bénéficier de ce traditionnel partage d’expérience à Bobo-Dioulasso auprès de leurs encadreurs. Ces derniers n’ont ménagé aucun effort pour les accompagner. Le voyage pédagogique s’inscrit dans le processus de formation professionnelle des stagiaires.
Et comme toute chose a une fin c’est ce 8 mai 2023 que les stagiaires de l’ISTIC sont rentrés de leur voyage pédagogique.
Visites d’entreprises de presse, d’industries et la réalisation de reportages sur les activités de la Semaine Nationale de la Culture (SNC), de capsules vidéos, d’ albums photos, la conception d’affiches, la réalisation de lives, étaient entre autres les différents exercices auxquels se sont prêtés les stagiaires de l’ISTIC durant cette sortie.
Sur le chemin du retour, c’est somme toute une ambiance de joie qui a régné. Si certains étaient contents de rentrer, d’autres par contre espéraient une prolongation du voyage .
Le 1er car qui a démarré à 8h34 semblait transporter des étudiants impatients de regagner leur ‘’chez eux’’.
En fait dans ce car on aurait dit que les petits plats avaient été mis dans les grands pour agrémenter le voyage retour.
En effet , tout y semblait avoir été bien préparé . Un DJ improvisé qu’accompagnait une maîtresse de cérémonie animaient et égayaient l’atmosphère dans le car. On eu dit qu’il s’était préparé en conséquence au vu de la sélection musicale qui enflammait le car.
Cris, rire, chant, coups de téléphone à gauche à droite pour prévenir de leur arrivée retentissaient dès les premières heures jusqu’à ce qu’une bonne partie sombre dans les bras de Morphée .
Après quelques heures de sommeil et du chemin parcouru, vint un moment de délivrance marqué par une pause santé.11h30, le car est à Boromo. Et une pause de 30 minutes est offerte à l’ensemble des voyageurs pour leur permettre de se restaurer . A 12h10, ils se réinstallent dans le car. La traversée continue avec pour destination Ouagadougou.
L’ambiance diminue d’intensité dans le véhicule au fur et à mesure que la destination approche.
A 14h30 nous voilà dans la commune de Tanghin Dassouri.
Des 15h30, la voiture se gare au parking de L’ISTIC et nous voilà dans la cour . L’ambiance a repris de plus belle. Cette fois pour se dire au revoir et rejoindre les proches venus attendre les stagiaires après près de deux semaines d’absence.
Groupe B
Hadéja KEITA
Jémima KABRE
Leila BARRY
Aissata TASSOMBEDO
Hania OUEDRAOGO
Roxane KABORE
En savoir +Journalisme en période de crise : comment les acteurs peuvent-ils s’adapter à cette situation dans le traitement de l’information ?
A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de presse qui a été célébrée le 3 mai 2023, le Studio YAFA a organisé un panel portant sur le journalisme en période de crise. Ce panel s’est tenu ce 5 mai 2023 à la maison de la Culture de Bobo-Dioulasso.
Le Burkina Faso est en proie depuis plusieurs années à des attaques terroristes. Le journaliste est donc obligé, en ces périodes difficiles, de revoir le traitement de l’information. Conscient de cette situation, 4 panelistes ont traité de la question.
Pour le Dr Seydou DRAME, journaliste, juriste et formateur en journalisme, la crise a un impact sur le journalisme. En effet, dit-il, le journalisme au Burkina Faso a un problème depuis plus de 20 ans. Le journaliste est censé collecter, sélectionner, traiter et diffuser l’information. « Nombreux sont des journalistes qui ne vont jamais accepter faire le déplacement dans le nord pour un reportage », a-t-il ajouté.
Le représentant de l’Association des journalistes du Burkina (AJB), Abdoulaye OUATTARA, a indiqué que le journalisme en temps de crise doit être un journalisme d’objectivité. C’est-à-dire que le journaliste doit rapporter l’information de façon « directe, juste et honnête ».
Abibata COULIDIATY de l’Observatoire Burkinabè des Media (OBM) pense que « le journaliste doit aborder des sujets d’intérêt public sur la situation sécuritaire. Le journaliste doit donc parler des sujets qui expliquent les vrais problèmes que vivent les Burkinabè durant cette période ». En effet, le journaliste doit contribuer à l’éveil des consciences de la population à majorité jeune. Le Burkina Faso a besoin d’une jeunesse soudée et cultivée afin de sortir de cette situation qui dure déjà depuis plusieurs années, a-t-elle ajouté.
Boureima SALOUKA, formateur en journalisme, a indiqué que le journalisme impacte sur la crise. « Depuis le début du terrorisme au Burkina Faso, j’ai rarement lu des productions journalistiques sur la vraie question du terrorisme. », a-t-il laissé entendre.
La responsabilité sociale du journaliste
A la question de savoir si le journaliste doit publier une information sans l’avis du gouvernement, tous les panelistes sont unanimes là-dessus : le journaliste a le devoir de relayer les informations sensibles au public tant qu’elles sont justes et vraies. Cependant, selon Evariste BATIONO, représentant du Conseil Supérieur de la Communication (CSC), le gouvernement doit avoir la primeur de l’information.
Par ailleurs, Abdoulaye OUATTARA a invité tous les journalistes et futurs journalistes à se former sur le journalisme de guerre.
Deux heures durant, des étudiants en journalisme et en communication ainsi que des professionnels de l’information ont suivi le panel sur la gestion de l’information en ces périodes de crise sécuritaire.
Deo gracias DA
Rassida DABRE
Yacine GARANE
Saibata GUIRO
Alimata KABORE
Amandine TAGO
Pascal TAPSOBA
Maichka Latifa TIENDREBEOGO
En savoir +
Voyage pédagogique 2023 : Une soirée cinématographique organisée entièrement par les stagiaires assistants de la 35e promotion de l’ISTIC
90 sièges assis, renforcés par une vingtaine de chaises, la salle du Conseil Supérieur de la Communication (CSC) de Bobo-Dioulasso, a refusé du monde suite à la soirée cinématographique organisée par les Isticiens le 4 mai 2023. De l’administration au corps enseignant en passant par les étudiants, l’Institut des Sciences et Techniques de I ’information et de la Communication (ISTIC) a été magnifié au cours de cette soirée cinématographique.
Cela fait 8 jours que les stagiaires sont en immersion à Bobo-Dioulasso dans le cadre du renforcement de leur capacité professionnelle. A cet effet, ils ont organisé une soirée cinématographique afin d’ expérimenter la conception et le déroulement des événementiels . Cette soirée a connu la présence de la Directrice Générale de l’ISTIC , d’invités et de partenaires de l’institut.
Le programme des activités, les différentes invitations, les affiches, les flyers, le speech, la préparation de la salle, l’installation des invités, ont tous été portés par les étudiants en communication.
Quant à ceux de la filière journalisme, ils ont assuré la couverture médiatique de ladite soirée à travers la réalisation d’un grand direct et d’une vidéo Mojo.
Les techniciens ont quand à eux assuré la sonorisation et la projection des deux films qui étaient au programme ainsi que de l’exécution du direct.
Les films projetés sont des productions d’étudiants de promotion antérieure .
Il s’agissait du film documentaire, de Nourate Tontorogbo de 26minutes 46 seconde tourné à Kaya, manga et Ouaga durant l’année 2020- 2021, intitulé, « Tramadol un mal silencieux ». Ce film parle de l’impact négatif des stupéfiants sur la santé des jeunes. Pour la réalisatrice, ce film est une invite aux autorités à prendre des mesures appropriées pour éradiquer ce mal qui détruit la jeunesse Burkinabè.
« La stigmatisation de l’albinos au Burkina Faso, double peine pour défaut de la mélanine » est le second film projeté à l’occasion de la soirée cinématographique. Dans ce documentaire de 26 minutes 9 secondes. Zalissa Zongo, un produit de L’ISTIC, traite du phénomène de marginalisation auquel les personnes albinos sont confrontées.
La Direction de la Formation Initiale a remercié tout le corps enseignant pour l’accompagnement et la qualité du travail abattu tout au long du processus de formation des étudiants. La directrice générale quant à elle a salué l’intérêt que le public a porté à cette soirée.
En rappel le voyage d’études a pour rôle de permettre aux étudiants d’être en situation réelle avec les réalités du terrain mais aussi de mettre en exergue leurs aptitudes à s’adapter aux réalités du terrain.
Toute chose qui devrait concourir à faciliter leur insertion professionnelle.
Groupe B
Hadéja KEITA
Jémima KABRE
Roxane KABORE
Hania OUEDRAOGO
Aissata TASSOMBEDO
Leila Barry
Voyage pédagogique Bobo 2023 : Les stagiaires de la 35e promotion de l’ISTIC à la découverte de la SN-CITEC
C’était autour de la Société Nouvelle Huilerie et Savonnerie (SN-CITEC) de recevoir la visite des stagiaires de la 35e promotion de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC). Dans le cadre de leur voyage pédagogique à Bobo-Dioulasso, le 4 mai 2023, ils y ont fait un tour. De la transformation de la graine de coton à la production de l’huile et du savon, les apprenants se sont imprégnés des innovations prévues par la SN-CITEC.
La SN-CITEC est l’une des principales industries du Burkina Faso opérant dans le secteur des oléagineux, à travers la production d’huile alimentaire, de tourteaux de coton et d’aliments pour bétail à base de graine de coton. Elle produit également du savon de ménage à base de matières premières importées de la sous-région.
Dans le souci de comprendre le mécanisme de transformation de cette matière première qu’est le coton en savon et en huile, les stagiaires de l’ISTIC sont allés visiter les locaux de l’industrie en compagnie de leurs encadreurs et de quelques membres de l’administration. La transformation de la graine, issue de la culture du coton produit par des millions de paysans, constitue une valeur ajoutée pour l’économie nationale burkinabè.
Cette société ravitaille le pays en quatre produits essentiels, à savoir l’huile Savor, le savon Citec, les tourteaux et l’aliment pour bétail. A entendre le responsable du raffinage et du conditionnement, Lionel Sanon, ce travail s’étale sur une durée de 11 mois sur 12 avec un mois de maintenance pour les machines. La matière première utilisée dans la production des différents produits est la graine de coton. Et pour ce faire, il y a une section de stockage qui est chargée de la recevoir et de la stocker afin que l’usine puisse produire durant 11 mois. « La société a une capacité de stockage d’environ 120.000 tonnes par an. Mais ces dernières années, elle ne parvient qu’à stocker 60.000 tonnes », a expliqué M. Lionel Sanon.
Selon M. Sanon, cette graine subit plusieurs transformations avant de donner les produits finis de l’usine. Il s’agit d’abord du nettoyage et du décorticage de la graine pour la débarrasser des impuretés. Et puis, il y a la ventilation et le tamisage qui permettent de dégager la poussière et les particules étrangères de la graine. Elle est après envoyée pour le décorticage et les amandes sont ensuite récupérées. « La société dispose de 3 nettoyeurs, 5 batteurs et 8 décortiqueurs », a révélé le responsable du raffinage et du conditionnement. Après ce processus, la graine est aplatie et transformée en une farine qui passe par la cuisson, pour donner une pâte qui sort à une température de 100°C. Toutefois, il faut un conditionnement de 30°-37°, avant de passer à l’extraction de l’huile.
Quant au savon citec, il est obtenu grâce au mélange d’acide gras de palme, de sel, de soude et d’huile de palmiste.
Des innovations en cours
L’insécurité affecte tous les secteurs d’activités. C’est le cas de la SN-CITEC, qui fait face à un problème d’approvisionnement en graine de coton, ces dernières années. Pour pallier à ces manquements, la SN-CITEC a inscrit dans son projet, la production d’huile à base de graine de soja.
En rappel , la SN-CITEC a été créée le 1er novembre 1995.
Groupe B
Hadéja KEITA
Jémima KABRE
Roxane KABORE
Hania OUEDRAOGO
Aissata Tassombedo
Leila Barry
Journées portes ouvertes de Sidwaya Bobo : La digitalisation de la presse écrite au cœur d’un colloque
La Direction Régionale de l’Ouest des éditions Sidwaya a organisé un colloque, ce mercredi 03 mai 2023 à l’occasion de ses journées portes ouvertes. Placé sous le thème : “La presse écrite dans un contexte de digitalisation : opportunités et défis”, ce rendez-vous a été un moment de partage d’expériences entre acteurs du monde de la presse burkinabè.
Avec le développement des Technologies de l’information et de la communication (TICs), la survie de la presse écrite est menacée, selon Dr Cyriaque Paré, un des animateurs du colloque.
« Nous sommes dans une logique de convergence. Le produit infos ne se vend plus à cause de la gratuité des contenus. Il faut donc revoir le modèle économique pour s’adapter et survivre », a-t-il indiqué.
Pour Mountamou Kani, le numérique valorise la presse écrite et lui permet d’accroitre son audience. Donc, il revient au journal papier d’adopter une bonne communication allant vers les lecteurs.
Et cela par la diversification des contenus comme les devinettes, les mots cachés et bien d’autres choses. « Le journal doit mettre l’eau à la bouche du lecteur en ligne afin de l’inciter à aller lire le journal papier pour lui permettre de découvrir d’autres choses. Le numérique et le journal papier peuvent être complémentaires pour le bonheur des lecteurs », a-t-il souligné.
Dans un contexte de digitalisation, la presse écrite n’est pas le seul média menacé. La télé et la radio ne sont pas en marge. Tous ces médias sont, de nos jours, présents sur internet.
Face aux avancées technologiques, les communicateurs invitent l’ensemble des hommes de médias à plus de professionnalisme dans l’utilisation des outils numériques pour la collecte, le traitement et la diffusion de l’information.
Groupe D
Raïssa Traoré
Neimata Kaboré
Djamilatou Koné
Leïla Sawadogo
Asséta Kafando
Alima Kiema
Issiaka Drabo
Arouna Romba
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