Voyage d’immersion dans la ville de Sya : un partenariat bien tissé entre l’ISTIC et la Mairie de Bobo-Dioulasso
62 étudiants, 6 encadreurs et 3 membres de l’administration de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) ont été reçus ce jeudi 27 avril 2023 à l’Hôtel de ville de Sya. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement du partenariat entre l’ISTIC et la mairie.
La visite de la Mairie a débuté à 09h07 minutes avec des mots de bienvenue de la part de l’administration. Jocelyne TRAORE née SANON, secrétaire générale adjointe de la mairie, a formulé des mots d’encouragement à l’endroit des étudiants et a félicité les encadreurs pour l’enseignement et l’accompagnement vis-à-vis des stagiaires. Un partenariat de plus de 5 ans est tissé entre l’institut et la mairie pour le bon déroulement du voyage pédagogique qui se tient chaque année.
Un kit composé, entre autres, des deux derniers numéros du ‘’Bourgeon Nouveau’’ réalisés par les étudiants en fin de cycle, a été remis à la secrétaire générale adjointe de la mairie à la fin de la visite. Un acte symbolique qui vient solidifier la collaboration entre l’ISTIC et l’Hôtel de ville de Sya.
Au cours de cette visite, les étudiants ont posé certaines préoccupations, notamment la fermeture de la Guinguette et les critères de recrutement des journalistes à la radio municipale.
93.1 FM, c’est sur cette fréquence qu’émet la radio municipale de Sya. Un média qui joue un rôle important dans l’éveil des consciences des populations de la commune de Bobo-Dioulasso. Il est dirigé par Safiatou Grâce Murielle OUEDRAOGO. Le personnel de la radio est composé de 5 journalistes et 3 techniciens. Une radio quotidienne qui fonctionne de 5 h à 22 h sur un rayon de 80 km desservant la commune et une partie de la région des Hauts-Bassins.
Le renforcement des capacités du personnel de la radio et le recrutement de nouveaux agents sont des perspectives en vue pour son meilleur fonctionnement.
Par ailleurs, pour être en phase avec la digitalisation, la création d’un site web pour la radio est envisagée. L’objectif étant d’accroître l’audimat en mettant en ligne les diverses émissions. Cette digitalisation permettra à la 93.1 FM de s’ouvrir au reste du monde.
La cheffe de la station radio municipale de Sya a révélé que les autorités municipales sont en train de tout mettre en œuvre pour que la radio soit sur son propre site afin de mettre les agents dans de meilleures conditions de travail. « Heureusement avec la Transition, comme ce sont des administrateurs, ils connaissent mieux l’administration. Les choses sont en train de bouger et nous osons croire que le site de la radio sera d’actualité. » a-t-elle indiqué.
GROUPE D
Raïssa TRAORE
Leïla Sylvia SAWADOGO
Neimata KABORE
Djamilatou KONE
Asseta KAFANDO
Alima KIEMA
Issiaka DRABO
Arouna ROMBA
En savoir +SNC 2023 : la Mairie centrale de Bobo-Dioulasso engagée pour la réussite de l’évènement
La mairie de la commune de Bobo-Dioulasso a initié plusieurs innovations pour que la Semaine Nationale de la Culture (SNC) soit un franc succès. Cette information a été donnée ce jeudi 27 avril 2023 lors d’une rencontre avec des stagiaires en fin de formation à l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC).
Une enveloppe de 10 millions de F CFA, la prise en charge d’un prix spécial, la mise à disposition d’un plateau off, de diverses logistiques, la prise en charge totale de l’embellissement et du nettoyage de la ville durant la SNC sont, entre autres, la contribution de la mairie de Bobo-Dioulasso à cette 20ème édition de la SNC.
Pour la réussite de cette biennale de la fête de la culture, des sites d’hébergement adaptés en lieu et place des écoles sont également aménagés pour l’ensemble des invités qui y prendront part. Selon la secrétaire générale adjointe de la délégation spéciale de la ville de Bobo-Dioulasso, Jocelyne TRAORE/SANON, des mesures sécuritaires sont aussi prises pour assurer le bon déroulement de la fête. « Toute l’équipe de la police municipale est mobilisée pour faciliter la circulation routière et assurer la sécurité pendant la durée des festivités », précise-t-elle.
Pour la présente édition de la SNC, la mairie de la ville de Sya est par ailleurs à pied d’œuvre pour la mobilisation de la population. Ce qui représente une innovation majeure et un fort défi au vu de la situation sécuritaire que connaît le Burkina Faso. Pour cette édition, la Guinée Conakry est le pays invité d’honneur et environ 600 000 visiteurs sont attendus.
Les stagiaires de l’ISTIC prendront part à cette 20ème édition de la Semaine Nationale de la Culture dont la cérémonie d’ouverture officielle est prévue pour se tenir ce samedi 29 avril 2023 au stade Sangoulé LAMIZANA de Bobo-Dioulasso.
En rappel, la visite à la mairie s’inscrit dans le cadre du voyage pédagogique des stagiaires assistants de la 35e promotion de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) en fin de formation.
GROUPE D
Leïla Sylvia SAWADOGO
Raïssa TRAORE
Neimata KABORE
Djamilatou KONE
Asseta KAFANDO
Alima KIEMA
Issiaka DRABO
Arouna ROMBA
En savoir +Carnet de route : De Ouaga à Bobo, le trajet d’un voyage pédagogique inoubliable de la 35e promotion de l’ISTIC
Les assistants stagiaires journalistes, communicants et techniciens de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) de la 35e promotion en fin de formation ont pris la route le mercredi 26 Avril 2023 pour leur voyage pédagogique, destination Bobo–Dioulasso.
Il est 6h, certains stagiaires manquent à l’appel. Pourtant, le départ est prévu dans 30 minutes.
Les personnes qui attendent sont soudainement inspirées par des débats footballistiques. «Haaland est trop fort » laisse entendre un stagiaire. Nous sommes demandés à l’administration pour la distribution des t-shirts « ISTIC ». Certains exigent une taille parfaite à leur forme.
7h40, la Directrice générale de l’ISTIC, Dr Alizèta OUOBA née COMPAORE, fraichement nommée nous honore de sa présence. Le directeur de la formation initiale, Abem AOUSSEGUE, l’introduit auprès des stagiaires rassemblés avant le départ.
Dr Alizèta OUOBA formule le vœu : « Vous allez dans un cadre pédagogique. Je souhaite que le voyage se passe bien. Je resterai en contact avec vos responsables pour prendre connaissance de ce qui se passe. Sur ce, bonne traversée. » Les stagiaires, attentifs, applaudissent et se dispersent.
Le départ
7h50, les stagiaires embarquent selon la répartition par filière. 7h58, le car des communicants et des encadreurs avance et prend la route pour la cité des Silures sacrés. Notre car repêche un communicant, Toro Bertin BORRO qui a manqué de place. Deux camarades manquent à l’appel chez les stagiaires journalistes : Bapougouni LOMPO et Alima KABORE. Le premier est une personne vivant avec un handicap visuel et pour cause de la lenteur d’avancement dans sa production de fin d’année, ne peut se joindre à nous. Alima, elle, elle est juste en retard.
Issiaka DRABO, stagiaire en journalisme, impatient s’interroge : « Peut-on se permettre de bouger ? ».
Il est 8h30, Alfred NIKIEMA, un de nos encadreurs et un ancien célèbre présentateur de journal à la chaîne nationale RTB, vient d’arriver. Le car n’attend plus personne. Le chauffeur enclenche la manœuvre. Il est 08h32, nous quittons l’école en direction de Bobo-Dioulasso. « Alléluia » clame Issiaka DRABO soulagé et ses camarades répliquent « amen».
Nous nous amusons à nous taquiner. Ça rit aux éclats. Pour passer le temps, certains, la tête baissée, manipulent leurs Androids en naviguant sur les réseaux sociaux. Une majorité écoute la musique pendant que d’autres chantent. Yacine GARANE, stagiaire en journalisme entonne une chanson. Housseyni DICKO pour amuser la galerie demande : « qui baille ? ». Tous se mettent à rire. Il insinue donc que le chant de Yacine ressemble à un bâillement.
Lorsque nous arrivons au feu tricolore de la mairie centrale de Ouagadougou, Alima KABORE nous rejoint. Tous contents, nous l’accueillons avec des cris de joie. C’est parti maintenant pour un voyage et un séjour inoubliable !
9h 10, l’heure à laquelle nous quittons Ouagadougou. Dans le car, il y a une bonne ambiance. Rachida DABRE se reconvertit en Disc Jokey (Dj) et nous berce avec de belles mélodies modernes. Nous esquissons des pas de danses et chantons en chœur les paroles. C’est dans cette atmosphère que nous arrivons à Tanghin Dassouri. Tout à coup, une stagiaire a une envie pressante de se soulager. Ainsi, nous marquons un arrêt de 2mn.
A partir de Kokologho, la fatigue se manifeste chez certains camarades. Les plus épuisés dorment pendant ce temps, d’autres continuent d’écouter la musique en animant des causeries. Nous nous mettons à observer la nature tout au long du trajet : les fruits sauvages, les animaux, des points d’eau… Au marigot de Tita, Issiaka DRABO se remémore de son enfance, lorsqu’il voit des enfants se baigner. « J’aimais faire des baignades avec mes amis. Je rentrais le visage tout blanc et lorsqu’on me demandait si j’y étais (au marigot), je niais». Nous nous moquons de lui.
Il est à présent 12h05. Notre car marque un arrêt à Boromo. La plupart des étudiants profitent pour manger et refaire le plein d’énergie. Ils trouvent le prix du riz abordable par rapport à celui de la viande.
Après 40 minutes d’escale, nous reprenons notre trajectoire pour la capitale économique du Burkina Faso. Nous constatons le changement du climat. La température chaude devient fraîche. Issiaka Drabo ayant vécu longtemps à Boromo et dans la cité de Sya profite donner un cours de géographie. « Le barrage que vous voyez, c’est le petit Balé : « Le grand se trouve plus loin » dit-il.
L’ambiance devient de plus en plus vivace. « DJ DABRE» prend sa retraite tandis que « DJ DICKO» prend la relève. Il dédicace des chansons à ses camarades et surprend beaucoup sur le type de musique qu’il propose, lui qui est toujours ancré dans la tradition peule nous fait écouter des chansons de tout genre.
Durant tout le long du trajet, un convoi des Forces de défense et de sécurité (FDS) et de Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) chemine avec nous. A la vue de ces braves Hommes, les stagiaires témoignent leur solidarité avec des salutations admiratives. L’entrée de la ville de Houndé, offre une magnifique vue à ceux qui n’avaient pas leurs yeux au plancher ou sur des écrans. Une petite élévation donne une vue en hauteur de la ville dominée par des arbres à feuillages verdoyants. Un spectacle que beaucoup n’oublieront pas de sitôt surtout pour ceux qui vont à Bobo pour leur première fois.
15h30, nous arrivons enfin dans la cité de Sya.
Il est 15h34, nous sommes devant le centre qui doit nous servir d’hébergement pour les deux semaines que nous passerons à Bobo-Dioulasso. Les stagiaires en binôme tirent au sort pour choisir leurs chambres. Une stagiaire en communication pique une crise. Fort heureusement, tout a été prévu d’avance. L’infirmier de l’école Daouda DIASSO la remet sur pied.
Les stagiaires rentrent se reposer. Le séjour est chargé. Des visites d’organes de presse, de structures de communication et de sites touristiques les attend. Sans oublier les activités de la Semaine nationale de la culture (SNC) qui permettront aux stagiaires de produire de la matière informative à diffuser sur la page Facebook, YouTube et sur le site web de l’institut.
GROUPE A
BALO Gloria Rolande
DICKO Housseyni Hama dit Salley
SORE Sayouba
KINDA W.R. Bénédicte
KIEMA Abdoul Aziz
OUEDRAOGO Issoufou
ZAGRE Alexandre
OUATTARA Roseline
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Nommée en Conseil des ministres le mercredi 19 avril 2023, elle remplace à ce poste, monsieur Zoumana TRAORÉ, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
Madame Adama SEGDA, tout en remerciant monsieur TRAORE pour le travail abattu à la tête du creuset du journalisme et de la communication au Burkina Faso, a exprimé les attentes du ministre Jean Emmanuel OUÉDRAOGO vis à vis de la nouvelle Directrice Générale. Entre autres, le ministre attend d’elle, beaucoup d’abnégation au travail et la célérité dans le traitement des dossiers.
Présent à l’installation de son successeur, monsieur Zoumana TRAORE a remercié l’ensemble de ses anciens collaborateurs, pour leur soutien indéfectible et inconditionnel durant l’exercice de ses fonctions. Il a par ailleurs fait des vœux de plein succès à la nouvelle Directrice Générale.
Après avoir traduit sa reconnaissance aux plus hautes autorités du Ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, pour la confiance placée en sa modeste personne, Dr OUOBA les a rassuré de son engagement à travailler avec ses nouveaux collaborateurs pour l’atteinte des missions qui lui sont assignées.
Aussi, s’est-elle engagée à poursuivre les sentiers que ses prédécesseurs ont engagé, notamment le processus d’universitarisation qui contribuera fortement à la renommée internationale de l’ISTIC.
Cette cérémonie d’installation a eu lieu en présence Pr Serge Théophile BALIMA et monsieur Barnabé KIEMTAREMBOUM, présidents, respectivement, du Conseil Scientifique et du Conseil d’administration de l”ISTIC, ainsi que d’imminents enseignants-chercheurs du domaine de l’information et de la communication au Burkina Faso.
DCMP/ISTIC
ISTIC : Former les futurs hommes et femmes des médias au journalisme sensible aux conflits (JSC)
En marge de ses activités, l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC) en collaboration avec le Centre national de presse Norbert ZONGO (CNPNZ), a organisé une conférence publique dans l’après-midi du jeudi 30 mars 2023 à l’ISTIC.
Placée sous le thème : « Le traitement de l’information dans la consolidation de la paix et la prévention des conflits », la conférence a été animée par Moussa SAWADOGO, journaliste et enseignant à l’ISTIC. Arsène Evariste KABORE, ancien secrétaire général de l’ISTIC et point focal entre l’institut et le CNPNZ a assuré la modération.
Le journalisme, un métier en pleine évolution
A l’entame de son exposé, le conférencier, après avoir défini les différents termes du thème de la conférence, a fait l’état des lieux du journalisme au Burkina Faso. Pour Moussa SAWADOGO, le journaliste sensible aux conflits doit cerner la nature du conflit. “Dans le contexte burkinabè actuel, le journaliste doit se rappeler sa mission sociale, qui est la défense de l’intérêt général quel qu’en soit le groupe”, a-t-il insisté. En effet, pour lui, au regard du contexte sécuritaire du pays, il revient au journaliste de faire preuve de professionnalisme dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information. Pour cela, il doit avoir une bonne culture générale.
Il est revenu par ailleurs sur les enjeux et les défis liés au concept du “journalisme sensible aux conflits”. A ce niveau, l’exposant a proposé onze missions dont la principale est, de diffuser des informations exactes et impartiales pour la résolution du conflit. Pour lui, « un journaliste sensible aux conflits, c’est d’abord un journaliste qui milite pour la paix ».
Il a terminé son exercice en invitant, les journalistes à aller au-delà du factuel pour consolider et rechercher la paix, tout en restant prudent. Le conférencier souligne qu’en période de conflit, l’éthique s’effrite au profit de la déontologie qui, elle-même s’éclipse au profit du politique. Il est alors recommandé, de se prémunir car « un bon journaliste est un journaliste vivant ».
Avis de quelques participants
Innocent ILBOUDO, assistant en journalisme à l’ISTIC et participant, s’est dit satisfait de la qualité de cette conférence : « Je retiens de cette conférence que le journaliste doit être un médiateur entre les différents protagonistes pour résoudre le conflit, tout en restant professionnel ».
Pour Abem AOUSSEGUE, directeur de la formation initiale, cette conférence publique s’inscrit dans le cadre des conférences pédagogiques que l’ISTIC organise avec ses partenaires de façon régulière. L’objectif est de donner l’occasion aux stagiaires de mettre en exergue la nécessaire liaison qui existe entre toutes les filières. C’est également une tribune pour contribuer à la consolidation de la paix au Burkina Faso
En rappel, l’ISTIC est un établissement public de l’Etat à caractère professionnel. Il assure la formation dans les filières du journalisme, de la communication et des techniques et technologies des médias.
En savoir +
Master Class 2023: Top départ pour troisième phase !
La troisième phase des masters class a débuté ce lundi 27 mars 2023 et se poursuit jusqu’au 6 avril 2023 à ISTIC école sise à Koulouba.
Les masters class sont des pratiques professionnelles qui mettent les apprenants en situation réelle de production. Pour cette dernière phase, les stagiaires en communication auront pour tâches d’assurer la conception graphique, la production de supports de communication, d’assurer la visibilité du voyage pédagogique des assistants et d’effectuer des visites en agences de communication et Direction de la Communication et des Relations Presse…
Pour M. BADOLO Amédée, la dernière phase des Master Class débute bien.
« Nous avons vécu de très belles expériences durant les deux premières phases et nous espérons continuer dans cette même dynamique pour cette phase. Dans la soif d’apprendre, nous continuerons à approcher nos encadreurs pour nous améliorer dans nos réalisations »
Cette troisième phase marquera la fin de 45 jours des travaux pratiques débutés depuis le 22 février 2023. (suite…)
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L’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) a tenu, ce jeudi 23 mars 2023 sa première session ordinaire du Conseil d’Administration (CA) à l’ISTIC école sis à Koulouba. Cette rencontre à connu la participation effective des administrateurs et des acteurs principaux de l’ISTIC.
L’ordre du jour s’est porté sur 11 points essentiels à savoir:
1. Examen et adoption du Procès-verbal de la session du conseil d’administration du 23 décembre 2022 et de sa délibération;
2. Examen et adoption du rapport d’activité 2022 et de sa délibération;
3. Examen et adoption du compte administratif 2022 et de sa délibération;
4. Examen et adoption du compte de gestion de l’année 2022 et de sa délibération;
5. Examen et adoption de l’état d’exécution du PPM 2022 et de sa délibération;
6. Examen et adoption du rapport de gestion 2022 et de sa délibération;
7. Examen et adoption du plan d’affectation du résultat 2022 et de sa délibération;
8. Examen et adoption du programme d’activités 2023 actualisé et de sa délibération;
9. Examen et adoption du budget modifié 2023 et de sa délibération;
10. Examen et adoption du PPM 2023 modifié et de sa délibération;
11. Divers.
DCMP/ISTIC
Reprise travaux RN 14 Sakoinsé-Koudougou, il était temps !
Le gouvernement, à l’issue du conseil des ministres de ce vendredi 10 mars 2023, a enjoint l’entreprise SOROUBAT de reprendre à sa charge les travaux de bitumage de la route Sakoinsé-Koudougou.
Le rapport de la mission d’investigation sur les dégradations précoces, suite à la visite de terrain du Ministre des infrastructures du 17 novembre 2022 de la route Sakoinsé-Koudougou, est formelle : « la qualité du matériau utilisé et celle de la mise en œuvre de la couche de base stabilisée aux concassés sont mises en causes.» Aussi le conseil des Ministre n’est pas allé du dos de la cuillère : « Au regard des conclusions de ce rapport …, le groupement d’entreprises SOROUBAT a été enjoint de reprendre à sa charge les travaux …»
Cette décision, loin d’être populiste, sonne comme un signal fort à l’endroit des entreprises attributaires des marchés de travaux publics.
En effet bien d’observateurs y voient une volonté de moralisation et d’assainissement de ce secteur, qui a longtemps rivalisé dans la mauvaise exécution des travaux. Des infrastructures du 11 décembre, à la construction de bâtiments administratifs ou scolaires, le pays en a trop souffert.
Même si aucun délai n’est défini pour la reprise, les filiales du Burkina Faso et de Côte-d’Ivoire de l’entreprise tunisienne SOROUBAT avaient exécuté les travaux à hauteur de 7 424 110 430 F CFA.
Il était donc temps de sonner le glas pour cette manière de réaliser les travaux public, car le développement du pays passe aussi, par la construction d’infrastructures qui défient le temps.
En rappel c’est le 16 janvier 2020, qu’a eu lieu la cérémonie de lancement officiel des travaux de réhabilitation de la route Sakoinsé-Koudougou.
Alassane OUEDRAOGO/Stagiaire
En savoir +Master class 2023, phase 1, spécial FESPACO
Les stagiaires de l’ISTIC à l’école de la communication évènementielle du SIAO et du FESPACO
Dans le cadre de la première phase des masters class 2023, l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) a organisé, ce 2 février 2023 à Ouagadougou, une conférence publique sur le thème : « Communication évènementielle du SIAO et du FESPACO : cas des éditions 2023 ».
L’objectif, permettre aux stagiaires en communication de profiter de l’expérience des ainés en matière d’évènementiel. A l’occasion, la cheffe du service de communication du SIAO, madame Stella TAPSOBA et la directrice de la communication du FESPACO, madame Habi OUATTARA, ont à tour de rôle échangé avec les pensionnaires de l’ISTIC et le personnel d’encadrement
Pour madame TAPSOBA, le salon offre une opportunité de promotion de l’artisanat dans toute sa diversité et au rehaussement de la notoriété de notre pays à l’échelle internationale. Celle-ci passe par une bonne communication interne et externe. Pour la réussite d’un tel évènement, les relations presses sont capitales, a-t-elle déclaré. De ses explications, la communication évènementielle ne réussit que lorsque l’on est en état d’éveil permanent.
Quant à madame OUATTARA, responsable de la communication du FESPACO, elle a affirmé que le festival est un outil politique, fondé en 1969 puis institutionnalisé en 1972. Selon elle, il est devenu une biennale qui a lieu, tous les derniers samedis du mois de février des années impaires. Pour la réussite d’un tel évènement, les journalistes accomplissent une tâche très importante car l’image de l’évènement dépend en grande partie de leur détermination a-t-elle avancé.
Après cette conférence, des avis de certains encadreurs et stagiaires ont été recueillis.
« Nous avons beaucoup appris en matière de communication évènementielle, notamment les activités pré, pendant, et post évènement », a laissé entendre Madina NASSA/OUEDRAOGO, stagiaire en Communication à l’ISTIC. Et Kévine BELEM, stagiaire en communication d’ajouter que la conférence a été d’une grande utilité pour elle qui s’intéresse à l’évènementiel. Cette conférence lui a permis de cerner les contours de l’organisation d’un évènement.
Selon monsieur Wenseslas Anselme YONI, directeur régional de la communication de la région du Centre-Nord et enseignant à l’ISTIC, « La conférence était au top, car les étudiants y ont trouvé leur intérêt ».
Monsieur Abdou ZOURE, directeur de Faso7 et enseignant à l’ISTIC a fait savoir qu’à l’issu de cette conférence, les stagiaires seront outillés grâce à la communication des deux spécialistes.
Master class 2023, phase 1, spécial FESPACO
Les stagiaires de l’ISTIC à l’école de la communication évènementielle du SIAO et du FESPACO
Dans le cadre de la première phase des masters class 2023, l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ISTIC) a organisé, ce 2 février 2023 à Ouagadougou, une conférence publique sur le thème : « Communication évènementielle du SIAO et du FESPACO : cas des éditions 2023 ».
L’objectif, permettre aux stagiaires en communication de profiter de l’expérience des ainés en matière d’évènementiel. A l’occasion, la cheffe du service de communication du SIAO, madame Stella TAPSOBA et la directrice de la communication du FESPACO, madame Habi OUATTARA, ont à tour de rôle échangé avec les pensionnaires de l’ISTIC et le personnel d’encadrement
Pour madame TAPSOBA, le salon offre une opportunité de promotion de l’artisanat dans toute sa diversité et au rehaussement de la notoriété de notre pays à l’échelle internationale. Celle-ci passe par une bonne communication interne et externe. Pour la réussite d’un tel évènement, les relations presses sont capitales, a-t-elle déclaré. De ses explications, la communication évènementielle ne réussit que lorsque l’on est en état d’éveil permanent.
Quant à madame OUATTARA, responsable de la communication du FESPACO, elle a affirmé que le festival est un outil politique, fondé en 1969 puis institutionnalisé en 1972. Selon elle, il est devenu une biennale qui a lieu, tous les derniers samedis du mois de février des années impaires. Pour la réussite d’un tel évènement, les journalistes accomplissent une tâche très importante car l’image de l’évènement dépend en grande partie de leur détermination a-t-elle avancé.
Après cette conférence, des avis de certains encadreurs et stagiaires ont été recueillis.
« Nous avons beaucoup appris en matière de communication évènementielle, notamment les activités pré, pendant, et post évènement », a laissé entendre Madina NASSA/OUEDRAOGO, stagiaire en Communication à l’ISTIC. Et Kévine BELEM, stagiaire en communication d’ajouter que la conférence a été d’une grande utilité pour elle qui s’intéresse à l’évènementiel. Cette conférence lui a permis de cerner les contours de l’organisation d’un évènement.
Selon monsieur Wenseslas Anselme YONI, directeur régional de la communication de la région du Centre-Nord et enseignant à l’ISTIC, « La conférence était au top, car les étudiants y ont trouvé leur intérêt ».
Monsieur Abdou ZOURE, directeur de Faso7 et enseignant à l’ISTIC a fait savoir qu’à l’issu de cette conférence, les stagiaires seront outillés grâce à la communication des deux spécialistes.